Diagnostics et AMO
Étude de programmation et revalorisation du site de l’abbaye
Souillac (Lot) Mairie de Souillac
Plan local d’urbanisme
Valence (Drôme)
Ville de Valence
Château de Chavaniac
Chavaniac-Lafayette (Haute-Loire)
Département de la Haute-Loire
Château de Grignan
Grignan (Drôme)
Département de la Drôme
Centre Bourg
Saint-Julien-Chapteuil (Haute-Loire)
Commune de Saint-Julien-Chapteuil
Haras National
Annecy (Haute-Savoie)
Ville d’Annecy
Commanderie des Templiers
Coulommiers (Seine-et-Marne)
Ville de Coulommiers
Hôtel-Dieu
Lons-le-Saunier (Jura)
Ville de Lons-le-Saunier
Centre ancien de la ville
Thiers (Puy-de-Dôme)
Ville de Thiers
Collège Jean Moulin
Lyon (Rhône)
Métropole de Lyon
Ancienne école vétérinaire
Lyon (Rhône)
SACVL
Ville de Souillac
Site de l’abbaye Souillac (Lot)
Étude de programmation et revalorisation du site de l’abbaye
Maîtrise d’ouvrage : Ville de Souillac
Protection patrimoniale: inscrit et classé MH.
Mission : étude de définition, de programmation et de faisabilité.
Avancement : phase 3 programmation
Équipe de maîtrise d’œuvre :
ELAN GROUPE : mandataire
DLAA.Archi : Architecte du patrimoine
La mairie de Souillac devient propriétaire de l’ensemble de site de l’Abbaye et de ses abords qui est intégré dans le centre-bourg de la Ville et accolé à l’Abbatiale Sainte-Marie classée Monument Historique. L’Abbaye quant à elle cherche aujourd’hui un renouveau tant programmatique que constructif où les diverses occupations et usages ont mené à des aménagements et modifications aujourd’hui conflictuelles.
Le travail de l’équipe consiste alors, suite à une phase de diagnostic pour comprendre les évolutions bâtimentaires, à proposer divers scenarii de viabilisation du site. Un complexe hôtelier haut de gamme ainsi qu’une agora sont retenus et développés par notre équipe en faisabilité surfacique et surtout du point de vue patrimonial. Ainsi toute l’Aile Ouest est entièrement remaniée au cours du 20ème siècle et permet d’accrocher une extension contemporaine ouvrant sur le square. Le bâtiment industriel datant des années 60 est démoli dégageant alors la totalité de l’espace public.
La mairie de Souillac devient propriétaire de l’ensemble de site de l’Abbaye et de ses abords qui est intégré
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dans le centre-bourg de la Ville et accolé à l’Abbatiale Sainte-Marie classée Monument Historique. L’Abbaye quant à elle cherche aujourd’hui un renouveau tant programmatique que constructif où les diverses occupations et usages ont mené à des aménagements et modifications aujourd’hui conflictuelles.
Le travail de l’équipe consiste alors, suite à une phase de diagnostic pour comprendre les évolutions bâtimentaires, à proposer divers scenarii de viabilisation du site. Un complexe hôtelier haut de gamme ainsi qu’une agora sont retenus et développés par notre équipe en faisabilité surfacique et surtout du point de vue patrimonial. Ainsi toute l’Aile Ouest est entièrement remaniée au cours du 20ème siècle et permet d’accrocher une extension contemporaine ouvrant sur le square. Le bâtiment industriel datant des années 60 est démoli dégageant alors la totalité de l’espace public.
Ville de Valence
Valence (Drôme)
Révision du plan local d’urbanisme (PLU) et définition du périmètre de site patrimonial remarquable (SPR)
Maîtrise d’ouvrage : Ville de Valence
Mission : Révision du plan local d’urbanisme (PLU) et définition du périmètre de site patrimonial remarquable (SPR)
Avancement : diagnostic
Équipe de maîtrise d’œuvre :
VERDI (mandataire),
DLAA.Archi: Architecte du patrimoine
Direction Urbanisme et Développement urbain
Dominant les flots du Rhône, Valentia la «vigoureuse» occupe un site privilégié de trois terrasses alluviales. C’est avec la conquête romaine qu’elle entre dans l’histoire. En 121 avant notre ère, la grande bataille qui oppose les légions romaines à la coalition gauloise ouvre la voie à la conquête. Valentia, sentinelle avancée de la romanisation devient une place de guerre stratégique à la croisée des grandes voies de communication.
Tandis que la basse ville accueille un port et un arsenal, la ville médiévale reste enserrée dans le rempart du Bas-Empire, renforcé en 1570 sous Charles IX. Malgré ce repli de la ville dans ses murs, le sort de Valence reste lié au Rhône, axe commercial majeur mais aussi frontière entre le Royaume de France et le Saint-Empire Romain Germanique jusqu’au 15e siècle.
Au 16e siècle ses fonctions militaires se développent avec la construction d’une citadelle. De nombreux hôtels particuliers et demeures bourgeoises fleurissent alors au sein des remparts. Le tournant majeur s’opère au 17e siècle qui voit s’épanouir à Valence une multitude d’ordres religieux. La cité confirme alors ses fonctions religieuses, administratives et judiciaires au détriment du commerce. Le centre historique de Valence garde aujourd’hui encore son aspect médiéval aux ruelles étroites. Il faudra attendre le 19e siècle pour que la Ville sorte de ses remparts, remplacés par des boulevards dès 1860. Valence se développe alors en éventail autour de son centre ancien.
L’objet de la mission, à l’occasion de la révision générale du PLU mis en place en 2013, est le diagnostic patrimonial de la ville et la définition d’un site patrimonial remarquable.
Dominant les flots du Rhône, Valentia la «vigoureuse» occupe un site privilégié de trois terrasses alluviales. C’est avec la conquête romaine qu’elle entre
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dans l’histoire. En 121 avant notre ère, la grande bataille qui oppose les légions romaines à la coalition gauloise ouvre la voie à la conquête. Valentia, sentinelle avancée de la romanisation devient une place de guerre stratégique à la croisée des grandes voies de communication.
Tandis que la basse ville accueille un port et un arsenal, la ville médiévale reste enserrée dans le rempart du Bas-Empire, renforcé en 1570 sous Charles IX. Malgré ce repli de la ville dans ses murs, le sort de Valence reste lié au Rhône, axe commercial majeur mais aussi frontière entre le Royaume de France et le Saint-Empire Romain Germanique jusqu’au 15e siècle.
Au 16e siècle ses fonctions militaires se développent avec la construction d’une citadelle. De nombreux hôtels particuliers et demeures bourgeoises fleurissent alors au sein des remparts. Le tournant majeur s’opère au 17e siècle qui voit s’épanouir à Valence une multitude d’ordres religieux. La cité confirme alors ses fonctions religieuses, administratives et judiciaires au détriment du commerce. Le centre historique de Valence garde aujourd’hui encore son aspect médiéval aux ruelles étroites. Il faudra attendre le 19e siècle pour que la Ville sorte de ses remparts, remplacés par des boulevards dès 1860. Valence se développe alors en éventail autour de son centre ancien.
L’objet de la mission, à l’occasion de la révision générale du PLU mis en place en 2013, est le diagnostic patrimonial de la ville et la définition d’un site patrimonial remarquable.
Département de la Haute-Loire
Château de Chavaniac Chavaniac-Lafayette (Haute-Loire)
Étude de définition, de programmation et de faisabilité
Maîtrise d’ouvrage : Département de la Haute-Loire
Mission : étude de définition, de programmation et de faisabilité
Avancement : 2018
Équipe de maîtrise d’œuvre :
Horwath HTL : mandataire
DLAA.Archi: Architecte du patrimoine
Café programmation
Anne Bourdais
Patricia Del-Par
Lieu de naissance du général-marquis de Lafayette et berceau de sa famille paternelle depuis 1708, le domaine de Chavaniac-Lafayette est un lieu singulier de la mémoire franco-américaine. Resté propriété de la famille Lafayette jusqu’en 1917, il est racheté par la French Heroes Lafayette Memorial Fund, Ind, une association américaine qui se chargera à la fois de transformer le château en musée à la mémoire du marquis de Lafayette et de créer dans les dépendances un préventorium et un orphelinat. En 2009, la fondation souhaite confier le château et son domaine au département de la Haute-Loire. Depuis cette date, le Département, devenu propriétaire, entreprend progressivement la restauration du parc, du château et des autres bâtiments. Un « plan de gestion » du parc s’étalant sur 12 ans a été mis en place à partir de 2014. Le château et son parc sont protégés au titre des monuments historiques (inscription en août 1989), et titulaires de deux labels d’état depuis 2011 (jardin remarquable et maison des illustres). Notre mission est d’accompagner la collectivité dans cette dynamique pour définir un plan d’action intégrant le château de Chavaniac-Lafayette et l’ensemble du domaine dans la politique culturelle et touristique du département.
Lieu de naissance du général-marquis de Lafayette et berceau de sa famille paternelle depuis 1708, le domaine
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de Chavaniac-Lafayette est un lieu singulier de la mémoire franco-américaine. Resté propriété de la famille Lafayette jusqu’en 1917, il est racheté par la French Heroes Lafayette Memorial Fund, Ind, une association américaine qui se chargera à la fois de transformer le château en musée à la mémoire du marquis de Lafayette et de créer dans les dépendances un préventorium et un orphelinat. En 2009, la fondation souhaite confier le château et son domaine au département de la Haute-Loire. Depuis cette date, le Département, devenu propriétaire, entreprend progressivement la restauration du parc, du château et des autres bâtiments. Un « plan de gestion » du parc s’étalant sur 12 ans a été mis en place à partir de 2014. Le château et son parc sont protégés au titre des monuments historiques (inscription en août 1989), et titulaires de deux labels d’état depuis 2011 (jardin remarquable et maison des illustres). Notre mission est d’accompagner la collectivité dans cette dynamique pour définir un plan d’action intégrant le château de Chavaniac-Lafayette et l’ensemble du domaine dans la politique culturelle et touristique du département.
Département de la Drôme
Château de Grignan (Drôme)
Étude patrimoniale de l’aile des prélats et des aménagements extérieurs
Maîtrise d’ouvrage : Département de la Drôme – Responable : Emilie de Min.
Protection patrimoniale: classé MH.
Budget: 5 000 000 € HT.
Avancement: phase DIAG en cours.
Surfaces : 1500m² SDP.
Consommation existant: NC.
Consommation visée : NC.
Travaux : restauration de l’Aile des Prélats, avec création d’une boutique, d’un restaurant, salle de réception et aménagement des espaces extérieurs.
Équipe de maîtrise d’œuvre :
DLAA.Archi: Architecte du patrimoine, mandataire + OPC
Frank Neau : paysagiste
ABAC : ingenierie SSI
3D Ingenierie : économiste
AMSTEIN + WALTHERT : BET fluides thermique + HQE
FLAMANT ID : architecte d’intérieur
UBC INGENIERIE : BET structure
CER : BET cuisiniste.
TECTA : BET VRD.
Mentionné dès le 11e siècle, le château de Grignan occupe un plateau dominant l’ancien bourg médiéval. D’abord propriété de la famille de Grignan puis de la famille des Adhémar, le château fortifié est agrandi et modernisé à la Renaissance, puis transformé en une prestigieuse demeure de plaisance au 17e siècle. C’est à cette époque que la marquise de Sévigné y séjourne à trois reprises et y meurt en 1696. Grâce à la renommée littéraire de cette épistolière, le château acquiert une importante notoriété à l’échelle nationale. Partiellement démantelé pendant la Révolution, il est reconstruit au début du 20e siècle par Marie Fontaine, qui laisse cependant à l’état d’inachevé l’aile des Prélats, puisque son inachèvement est antérieur à la Révolution, et à l’état de ruine un ensemble bâti hétéroclite, lui aussi probablement ruiné avant la Révolution. L’objet du projet est justement de réhabiliter, voire d’ « achever » ces espaces pour y implanter une vraie boutique, un espace de restauration et de mesurer la pertinence d’implanter, ou non, une salle de réception dans ce lieu d’exception. Au vu des enjeux économiques et théoriques que soulèvent ces problématiques — faut-il chercher à « finir » un édifice jamais terminé ? Ou au contraire mettre en scène son inachèvement ? À quel point peut-on investir des ruines ? Faut-il chercher à restituer un état antérieur incertain ? — un diagnostic patrimonial important, intégrant des réflexions de projets modulés par des variations de programmation et d’implantation, est mené pour essayer de mesurer le plus finement possible les impacts qu’auraient in fine ces décisions.
Mentionné dès le 11e siècle, le château de Grignan occupe un plateau dominant l’ancien
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bourg médiéval. D’abord propriété de la famille de Grignan puis de la famille des Adhémar, le château fortifié est agrandi et modernisé à la Renaissance, puis transformé en une prestigieuse demeure de plaisance au 17e siècle. C’est à cette époque que la marquise de Sévigné y séjourne à trois reprises et y meurt en 1696. Grâce à la renommée littéraire de cette épistolière, le château acquiert une importante notoriété à l’échelle nationale. Partiellement démantelé pendant la Révolution, il est reconstruit au début du 20e siècle par Marie Fontaine, qui laisse cependant à l’état d’inachevé l’aile des Prélats, puisque son inachèvement est antérieur à la Révolution, et à l’état de ruine un ensemble bâti hétéroclite, lui aussi probablement ruiné avant la Révolution. L’objet du projet est justement de réhabiliter, voire d’ « achever » ces espaces pour y implanter une vraie boutique, un espace de restauration et de mesurer la pertinence d’implanter, ou non, une salle de réception dans ce lieu d’exception. Au vu des enjeux économiques et théoriques que soulèvent ces problématiques — faut-il chercher à « finir » un édifice jamais terminé ? Ou au contraire mettre en scène son inachèvement ? À quel point peut-on investir des ruines ? Faut-il chercher à restituer un état antérieur incertain ? — un diagnostic patrimonial important, intégrant des réflexions de projets modulés par des variations de programmation et d’implantation, est mené pour essayer de mesurer le plus finement possible les impacts qu’auraient in fine ces décisions.
Commune de Saint-Julien-Chapteuil
Centre Bourg Saint-Julien-Chapteuil (Haute-Loire)
Étude de programmation et d’aménagement pour la revitalisation d’un centre bourg
Maîtrise d’ouvrage : Commune de Saint-Julien-Chapteuil
Mission : étude de programmation et d’aménagement pour la revitalisation d’un centre bourg
Avancement : 2019
Équipe de maîtrise d’œuvre :
Arter : mandataire
DLAA.Archi: Architecte du patrimoine
L’atelier du territoire
ici et maintenant
La localité de Saint-Julien, située à 17 km du Puy-en-Velay, s’est développée autour d’un prieuré fondé à la fin du XIe siècle par un groupe de moines bénédictins que les seigneurs de Chapteuil avaient fait venir de la Chaise-Dieu. Cette église romane est aujourd’hui classée monument historique. En 1733, Jean Pierre de Surrel (1686-1756) fit l’acquisition du fief de Saint-Julien, qui restera en possession de la famille de Surrel de Saint-Julien jusqu’à la Révolution française. La commune fut créée entre 1790 et 1794 par la fusion des communes éphémères de Saint-Julien et Chapteuil. L’objectif de la mission confiée à notre équipe est de définir un projet global, stratégique et concerté de revitalisation de la commune de Saint-Julien-Chapteuil, décliné en programme opérationnel permettant de maintenir voire de conforter les fonctions de son centre-bourg, le tissu économique local et de renforcer son attractivité résidentielle par rapport au reste de la commune.
La localité de Saint-Julien, située à 17 km du Puy-en-Velay, s’est développée autour d’un prieuré fondé à la fin du
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XIe siècle par un groupe de moines bénédictins que les seigneurs de Chapteuil avaient fait venir de la Chaise-Dieu. Cette église romane est aujourd’hui classée monument historique. En 1733, Jean Pierre de Surrel (1686-1756) fit l’acquisition du fief de Saint-Julien, qui restera en possession de la famille de Surrel de Saint-Julien jusqu’à la Révolution française. La commune fut créée entre 1790 et 1794 par la fusion des communes éphémères de Saint-Julien et Chapteuil. L’objectif de la mission confiée à notre équipe est de définir un projet global, stratégique et concerté de revitalisation de la commune de Saint-Julien-Chapteuil, décliné en programme opérationnel permettant de maintenir voire de conforter les fonctions de son centre-bourg, le tissu économique local et de renforcer son attractivité résidentielle par rapport au reste de la commune.
Ville d’Annecy
Haras national Annecy (Haute-Savoie)
Requalification architecturale et paysagère
Maîtrise d’ouvrage: Ville d’Annecy.
Protection patrimoniale : Édifices inscrits au titre de Monuments Historiques.
Mission : conseil et aménagement paysager.
Avancement : septembre 2016.
Équipe de maîtrise d’œuvre :
DLAA.Archi: Architecte du patrimoine mandataire.
Le concours de maitrise d’œuvre porte sur la rénovation du site des haras d’Annecy. Le projet du haras s’articule ainsi autour de 3 objectifs :
– la création d’une cité du cinéma d’animation. Il s’agit d’imaginer une vitrine permanente du cinéma d’animation en proposant notamment aux visiteurs locaux, touristes, et professionnels, une offre combinée d’expérimentation, création, monstration, médiation, diffusion… permettant d’explorer les différentes formes historiques, actuelles et à venir du cinéma d’animation.
– la réalisation d’un parc qui soit un lieu de respiration, d’apaisement et de déambulation à travers des aménagements qui ouvrent le site sur la ville.
– un concept commercial de restauration qualitative, type « halle gourmande » qui propose des corners avec des espaces de dégustation, épousant les nouveaux modes de consommation des citoyens et confortant le commerce de centre-ville.
Le projet se concrétisera ainsi par la réhabilitation des bâtiments existants et la construction de bâtiments nouveaux ainsi que le réaménagement paysager d’ensemble, selon des prescriptions prédéfinies visant à faire de ce programme culturel et touristique, l’opportunité d’un projet majeur de valorisation patrimoniale et urbaine, qui inscrive Annecy parmi les villes en capacité de façonner leur avenir en se maintenant dans la compétition internationale par le déploiement d’infrastructures et de dispositifs liés à l’image animée.
Le concours de maitrise d’œuvre porte sur la rénovation du site des haras d’Annecy. Le projet du haras s’articule
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ainsi autour de 3 objectifs :
– la création d’une cité du cinéma d’animation. Il s’agit d’imaginer une vitrine permanente du cinéma d’animation en proposant notamment aux visiteurs locaux, touristes, et professionnels, une offre combinée d’expérimentation, création, monstration, médiation, diffusion… permettant d’explorer les différentes formes historiques, actuelles et à venir du cinéma d’animation.
– la réalisation d’un parc qui soit un lieu de respiration, d’apaisement et de déambulation à travers des aménagements qui ouvrent le site sur la ville.
– un concept commercial de restauration qualitative, type « halle gourmande » qui propose des corners avec des espaces de dégustation, épousant les nouveaux modes de consommation des citoyens et confortant le commerce de centre-ville.
Le projet se concrétisera ainsi par la réhabilitation des bâtiments existants et la construction de bâtiments nouveaux ainsi que le réaménagement paysager d’ensemble, selon des prescriptions prédéfinies visant à faire de ce programme culturel et touristique, l’opportunité d’un projet majeur de valorisation patrimoniale et urbaine, qui inscrive Annecy parmi les villes en capacité de façonner leur avenir en se maintenant dans la compétition internationale par le déploiement d’infrastructures et de dispositifs liés à l’image animée.
Ville de Coulommiers
Commanderie des Templiers Coulommiers (Seine-et-Marne)
Étude de faisabilité et de programmation
Maîtrise d’ouvrage : Ville de Coulommiers
Avancement : 2019
Mission : étude de faisabilité et de programmation
Équipe de maîtrise d’œuvre :
Horwath HTL : mandataire
DLAA.Archi: Architecte du patrimoine
IDA concept
Dominant la cité de Coulommiers et la vallée du Grand-Morin, la Commanderie des Templiers de Coulommiers est un ensemble architectural exceptionnel, agencé autour d’une cour d’honneur et d’une basse-cour. Elle est aujourd’hui l’exemple le plus complet au nord de la Loire de ce qu’était jadis une commanderie. Le site est classé au titre des monuments historiques depuis 1994. Fondée vers 1173, la Commanderie de Coulommiers est propriété des chevaliers du Temple jusqu’en 1307, date de leur arrestation. Occupée pendant plus de quatre siècles par l’Ordre de Malte après la chute du temple, la Commanderie va peu à peu être délaissée. Rachetée par la municipalité en 1964, le site est sauvé par l’association des Amis du Musée du Papier (AMP) qui en 1966, à l’instigation de Jean Schelstraete, lance l’opération « sauvetage Commanderie ». Dès lors, le site est restauré bénévolement par de jeunes passionnés, bientôt dirigés par Hervé Baptiste, futur architecte en chef des monuments historiques. L’étude pour laquelle l’équipe a été mandatée a pour but de définir les conditions du projet de mise en valeur touristique de la Commanderie des Templiers de Coulommiers et de l’utilisation de l’ensemble des bâtiments qui composent le site. L’objectif est d’identifier les principales caractéristiques du projet à partir de ses enjeux et de ses priorités. Le concept proposé devra être en adéquation avec le contexte socio-économique, culturel et patrimonial du lieu.
Dominant la cité de Coulommiers et la vallée du Grand-Morin, la Commanderie des Templiers de Coulommiers est un ensemble architectural exceptionnel, agencé autour
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d’une cour d’honneur et d’une basse-cour. Elle est aujourd’hui l’exemple le plus complet au nord de la Loire de ce qu’était jadis une commanderie. Le site est classé au titre des monuments historiques depuis 1994. Fondée vers 1173, la Commanderie de Coulommiers est propriété des chevaliers du Temple jusqu’en 1307, date de leur arrestation. Occupée pendant plus de quatre siècles par l’Ordre de Malte après la chute du temple, la Commanderie va peu à peu être délaissée. Rachetée par la municipalité en 1964, le site est sauvé par l’association des Amis du Musée du Papier (AMP) qui en 1966, à l’instigation de Jean Schelstraete, lance l’opération « sauvetage Commanderie ». Dès lors, le site est restauré bénévolement par de jeunes passionnés, bientôt dirigés par Hervé Baptiste, futur architecte en chef des monuments historiques. L’étude pour laquelle l’équipe a été mandatée a pour but de définir les conditions du projet de mise en valeur touristique de la Commanderie des Templiers de Coulommiers et de l’utilisation de l’ensemble des bâtiments qui composent le site. L’objectif est d’identifier les principales caractéristiques du projet à partir de ses enjeux et de ses priorités. Le concept proposé devra être en adéquation avec le contexte socio-économique, culturel et patrimonial du lieu.
Ville de Lons-le-Saunier
Hôtel-Dieu Lons-le-Saunier (Jura)
Étude de faisabilité et de programmation architecturale et muséographique
Maîtrise d’ouvrage : Ville de Lons-le-Saunier
Avancement: 2019
Mission : étude de faisabilité et de programmation architecturale et muséographique
Équipe de maitrise d’œuvre :
DADU : mandataire
DLAA.Archi: Architecte du patrimoine
NLANA
Abmuseo
Le BE Associés
AMSTEIN & WALTHERT
ECOBIS
Édifié entre 1735 et 1745 selon les plans de l’architecte Jean-Pierre Gazelot, puis agrandi successivement par deux fois au XIXe siècle (entre 1830 et 1839 d’abord, puis entre 1865 et 1868) l’Hôtel-Dieu de Lons-le-Saunier est un des bâtiments emblématiques de la ville. Pour occuper ce nouvel espace vacant après le déménagement très récent des services hospitaliers, la ville souhaite y réunir deux musées, aujourd’hui séparés, mais qui à leur création ne formaient qu’une seule entité : le musée des Beaux-Arts et celui d’archéologie. La présente équipe est donc chargée d’accompagner la maitrise d’ouvrage dans la définition d’un programme culturel mixte, comprenant la restauration délicate d’un édifice ayant accueilli jusqu’à peu des activités hospitalières.
Édifié entre 1735 et 1745 selon les plans de l’architecte Jean-Pierre Gazelot, puis agrandi successivement par deux fois au XIXe siècle (entre 1830 et 1839 d’abord,
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puis entre 1865 et 1868) l’Hôtel-Dieu de Lons-le-Saunier est un des bâtiments emblématiques de la ville. Pour occuper ce nouvel espace vacant après le déménagement très récent des services hospitaliers, la ville souhaite y réunir deux musées, aujourd’hui séparés, mais qui à leur création ne formaient qu’une seule entité : le musée des Beaux-Arts et celui d’archéologie. La présente équipe est donc chargée d’accompagner la maitrise d’ouvrage dans la définition d’un programme culturel mixte, comprenant la restauration délicate d’un édifice ayant accueilli jusqu’à peu des activités hospitalières.
Ville de Thiers, Service Renouvellement Urbain
Centre ville Thiers (Puy-de-Dôme)
Projet de revitalisation d’un centre ancien
Maîtrise d’ouvrage : Ville de Thiers, Service Renouvellement Urbain.
Protection patrimoniale : Secteur Sauvegardé
Mission : étude de programmation urbaine et diagnostic de recyclage de l’habitat dégradé.
Avancement : opération en cours (2016).
Équipe de maîtrise d’œuvre :
EOHS : mandataire
DLAA .Archi: Architecte du patrimoine : cotraitant
Conditions Urbaines : cotraitant
Korell : cotraitant.
Dans un contexte historique de centre ancien comme celui de Thiers, le renouvellement urbain ne peut uniquement se satisfaire de la prise en compte du règlement d’urbanisme, ici défini par le Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur (PSMV). Inscrit dans la continuité des études menées lors de l’élaboration du PSMV, nous avons interrogé la notion d’habitabilité sur l’ensemble des secteurs pressentis pour le projet.
La valeur d’habitabilité se définit au travers de l’accessibilité (desserte piétonne, motorisée et PMR), du potentiel d’aménagement, de l’ensoleillement/des entrées de lumière, de la possibilité de ventilation naturelle, de l’orientation, de la qualité des vues sur l’extérieur depuis le logement, etc…
Cette appréciation, nécessairement de terrain, conduit à la visite d’un maximum d’édifices afin d’évaluer également l’état sanitaire du bâti. Une expertise qui est souvent l’occasion de signaler les constructions en état de péril.
Dans un contexte historique de centre ancien comme celui de Thiers, le renouvellement urbain
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ne peut uniquement se satisfaire de la prise en compte du règlement d’urbanisme, ici défini par le Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur (PSMV). Inscrit dans la continuité des études menées lors de l’élaboration du PSMV, nous avons interrogé la notion d’habitabilité sur l’ensemble des secteurs pressentis pour le projet.
La valeur d’habitabilité se définit au travers de l’accessibilité (desserte piétonne, motorisée et PMR), du potentiel d’aménagement, de l’ensoleillement/des entrées de lumière, de la possibilité de ventilation naturelle, de l’orientation, de la qualité des vues sur l’extérieur depuis le logement, etc…
Cette appréciation, nécessairement de terrain, conduit à la visite d’un maximum d’édifices afin d’évaluer également l’état sanitaire du bâti. Une expertise qui est souvent l’occasion de signaler les constructions en état de péril.
Métropole de Lyon, Direction Logistique Patrimoine Bâtiments
Collège Jean Moulin Lyon (Rhône)
Étude patrimoniale
Maîtrise d’ouvrage : Métropole de Lyon, Direction Logistique Patrimoine Bâtiments.
Mission : étude patrimoniale, élaboration d’un carnet de préconisation.
Avancement : livré en 2016.
Équipe de maîtrise d’œuvre :
DLAA.Archi: Architecte du patrimoine .
Faisant suite à une demande spécifique de la Métropole de Lyon, cette étude participa à la programmation des futures campagnes de travaux. Initié par l’identification des dispositions d’origine, ce travail traduit une volonté de préservation et mise en valeur des éléments architecturaux jugés remarquables. Les observations formulées devaient permettre une adaptation au confort de notre époque tout en respectant la dimension patrimoniale du site.
L’étude est constituée : – d’une part d’un diagnostic patrimonial et sanitaire, permettant ainsi une appréciation de valeurs sur l’ensemble du site. L’analyse détaillée intéressait, quant à elle, majoritairement la cité scolaire et les bâtiments annexes étaient simplement évoqués, – d’autre part d’un cahier de préconisations destiné à accompagner les éventuels travaux futurs.
Faisant suite à une demande spécifique de la Métropole de Lyon, cette étude participa à la programmation des
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futures campagnes de travaux. Initié par l’identification des dispositions d’origine, ce travail traduit une volonté de préservation et mise en valeur des éléments architecturaux jugés remarquables. Les observations formulées devaient permettre une adaptation au confort de notre époque tout en respectant la dimension patrimoniale du site.
L’étude est constituée : – d’une part d’un diagnostic patrimonial et sanitaire, permettant ainsi une appréciation de valeurs sur l’ensemble du site. L’analyse détaillée intéressait, quant à elle, majoritairement la cité scolaire et les bâtiments annexes étaient simplement évoqués, – d’autre part d’un cahier de préconisations destiné à accompagner les éventuels travaux futurs.
SACVL
Ancienne école vétérinaire Lyon (Rhône)
Étude de faisabilité pour la réhabilitation en résidence étudiante
Maîtrise d’ouvrage : SACVL.
Budget : 2 800 000 € HT.
Avancement : faisabilité.
Surfaces : 3 292m².
Travaux : reconverstion du bâtiment en logements étudiants.
Équipe de maîtrise d’œuvre :
DLAA.Archi: Architecte du patrimoine
ATEKENERGIE BET fluides thermique et HQE + économie.